Des anomalies graves sont enregistrées dans la gestion de la Mairie de Boffa, une ville située à près de 200 km de Conakry , la capitale guinéenne.
Selon nos informations , depuis la mise en place des Sept (7) commissions de la délégation spéciale, la commission finance n’a pas été responsabiliser par ordre de mission des agents pour identifier les services de recette propre à la commune pour le recouvrement à la connaissance des membres du conseil. Jusqu’à présent le montant net payé par chaque service de recette n’est pas connu par le conseil communal. En plus indiquent nos sources basées dans la localité , Il n’y a pas de pièce justificative du fond propre que possède la collectivité à la banque à travers le président, pour les décaissements les données ne sont pas dictée au conseil comme élément de preuve sur le fond net ils donnent une estimation d’approche approximative de bouche en oreille. Autres anomalies une fois le conseil vote et antérine une décision pour l’exécution d’un travail le conseil adopte la mise en place d’une commission de suivi et d’évaluation (du budget de l’entrepreneure pour examen du conseil à la majorité valide et le retient pour l’exécution). Comme la cour de la mairie le secrétaire général se prend maitre de tout à l’ouvrage et à la réalisation.
Plus loin une autre source a par ailleurs indiqué que tout projet ou initiative provenant du Vice-Président par de la collectivité est d’office saboté par le président de la délégation spéciale et son secrétaire général. Chose qui peut impacter le fonctionnement de la commune et empêcher l’équipe mise en place d’atteindre les objectifs fixés par le chef de l’Etat pour le bonheur des populations de la commune urbaine de Boffa . Au delà du sabotage des projets initiés par le vice-président de la délégation spéciale, il subit l’insubordination total de la part du secrétaire général devant les citoyens .
” En guise de témoin le directeur du CFP de Boffa et André Bangou. Il n’est associé à rien sur le plan économique. C’est une gestion opâque ” soutient une autre source qui a requis l’anonymat.
Pourtant dans la feuille de route de la délégation spéciale , il est mentionné noir sur blanc que la lutte contre la corruption constitue un axe central et fondamental dans toutes les actions. Et les textes sont claires notamment l’article 2 du code des collectivités qui stipule que : ” Le président ou à défaut le Vice-Président rempli les fonctions de l’Autorité Exécutive locale conformément aux dispositions de l’article 102 du code révisé des collectivités locales” .
La rédaction