Les forces vives de Guinée continuent d’accentuer la pression sur la junte militaire qui dirige la Guinée depuis la chute d’alpha condé à travers le maintient des manifestations à Conakry et à l’intérieur du pays. Ceux malgré la libération des dirigeants du front national pour la défense de la transition.
Aux moins 7 personnes ont trouvé la mort à Conakry ce mercredi à l’occasion de cette première journée de manifestation appelé par les forces vives de Guinée. Pour les forces vives de Guinée, il n’est pas question de reculer face au colonel Doumbouyah et ses hommes.
<< nos préalables sont de deux dimensions Premièrement,c’est la réparation des droits qui consistent à arrêter toutes formes d’harcèlement,de détention arbitraire, de convocation et de détention provisoire qui violent les dispositions légales A cela s’ajoutent le cas des leaders qui sont obligées de vivres loin du pays » a de
Selon eux, ils estiment que la libération de Foniké Ibrahima DIALLO et Cie est un début d’apport à par rapport au premier pan de leur préalable .
Ils ont par ailleurs indiqué que le seconde pan,consiste à ouvrir un cadre de dialogue dont les élément seront discuté en commun accord avec les forces vive de Guinée sous le regard de la communauté internationale.
<< C’est un début et nous félicitons les religieux et leur demandons plus d’engament »> a-t-il tranché.
A en croire l’activiste de la société civile, ce ne sont pas les manifestations qui entrainent perte en vie humaines mais le refus systématique de favoriser l’exercice d’un droit consacré par la charte de la transition.
« Nous restons dans notre agenda et nous regrettons que l’Etat ait décidé de déployer une armada que même le Burkina, le Mali ne déploie pas contre les terroristes C’est déplorable que ceux qui dirigent le pays déploient un tel dispositif pour faire face à des guinéens qui veulent simplement exercer un droit par rapport à la gestion de la transition >>> a-t-il confié