Aujourd’hui GAC est au centre des débats et analyses des économistes, sociologues et autres pour des questions de préoccupation majeure.
Certes, parlé de 3 milles emplois directs et indirects, mon regard sur le sujet est loin delà parceque, Boké a été le parent pauvre du projet, car rien n’a exprimé la volonté de l’entreprise d’alors de mettre notre kakandé au cœur du processus.
Cependant, mes inquiètes est de savoir, en cas de départ, qui payera, les taxes non payées de l’entreprise afin de permettre à l’état récupérer les ressources nécessaires pour faire face à la guinée et à Boké en particulier ?
Quelle sera l’avenir des installations de l’entreprise à kamsar, Tinguilinta et autres ?
EGA étant le partenaire direct de GAC, n’aura pas de problème pour sa participation dans le consortium CBG avec une fourniture de plus 3 millions de Tonnes de Bauxite ?
Une réflexion et une préoccupation pour demander au comité de réflexion et de négociation sur la situation des villages impactés par le projet, les assistances communautaires et surtout les contentieux entre les communautés et l’entreprise dont beaucoup de dossiers n’ont pas encore été traité par la justice à la satisfaction des communautés.
Pour finir, nous interpellons l’état à bien suivre le processus sur les exonérations qui n’étaient pas à l’avantage des communautés impactées et surtout, le payement des taxes superficiaires .
En somme, nous demandons à l’état de rétablir Boké et sa population sur l’effet de l’utilisation de la route nationale Sangaredi- Kamsar en passant par Boké ville en 2019 par GAC pour le transport de la Bauxite en violation des textes réglementaires et surtout du code minier.
Par Bassekou DRAME