Dans la commune de Matam, 2 905 candidats dont 1 411 filles affrontent les épreuves pour tenter de décrocher une place parmi les admis pour l’Université à partir de ce samedi 22 juin 2024 jusqu’au .
Dans cette commune , c’est le centre Collège Hadja Mafory Bangoura qui a abrité le lancement officiel des premières épreuves. Il a été présidé par le Général Amara Camara, ministre Secrétaire général à la Présidence de la République en compagnie du Secrétaire général du ministère de l’Enseignement Pré-universitaire et de l’Alphabétisation, Youssouf Boundou Sylla, le DCE de Matam Ibrahima 2 Barry et bien d’autres cadres.
Le Général Amara Camara s’est adressé à la presse. Il a appelé les candidats à mieux gérer leur stress face aux épreuves.
« C’est un sentiment de joie et de fierté. L’occasion nous a été donnée de faire le tour des salles, de voir individuellement les candidats pour leur souhaiter bonne chance aux examens, leur passer les encouragements et les bénédictins du Chef de l’État et de l’ensemble du gouvernement. (…) Ils doivent aborder leurs examens pour que tout se passe très bien dans le but d’obtenir plusieurs nombre de candidats afin de réussir ces épreuves cette année. Je profite également de l’occasion pour féliciter tous ces apprenants qui, dans leurs regards ont beaucoup de conviction et beaucoup de détermination d’aller au bout de ces épreuves. (…) », a-t-il dit.
Youssouf Boundou Sylla, Secrétaire général du ministère de l’Enseignement Pré-universitaire et de l’Alphabétisation est sur la liste des officiels qui ont présidé la cérémonie de lancement du baccalauréat dans la commune de Matam. Il souhaite plein succès aux candidats mais surtout un bon déroulement des épreuves.
« Mon sentiment ne peut être qu’un sentiment de satisfaction. Comme vous le savez, l’éducation est l’une des priorités majeures de Monsieur le Président de la République et les autorités de la transition. Cette année, nous avons voulu avoir des examens apaisés pour que les enfants puissent les aborder en toute sérénité et de restituer ce qu’ils ont appris en classe. Les programmes ont été enseignés et les sujets ont été choisis sur la base des programmes enseignés. Nous sommes convaincus que les enfants seront à la hauteur avec la plus grande sérénité pour restituer ce qu’ils ont déjà appris en classe », a-t-il martelé.